Eclat de tonnerre

Comment peut-on en arriver à ce stade

Je suis outrée de voir ce qui se passe, cette mobilisation qui n’a ni queue ni tête.

Je suis en train de voir le petit journal sur Canal Plus, c’est monstrueux, ce blocage des raffineries, leur discours ne vaut pas un pet de lapin, et ces lycéens, feraient mieux d’être dans leurs établissements, en quoi sont-il concernés???? D’ici, à ce qu’ils aient trente ans, cela aura changé du tout au tout.

Quand de Gaulle a dit que les Français étaient des veaux, il a bien fait, car ce sont des veaux, qui va payer les pots cassés, vous, les syndicats??? On ferait bien de vous brûler sur le bûcher, vous ne valez pas un clou, et votre souci, j’aimerais bien le connaître sur le fond, et sur la forme, vous cassez l’outil de travail, vos discours commencent à nous emm… prodigieusement, en tout cas, moi.

On ne construit pas une nation en étant systématiquement contre, il n’y a aucun bon sens dans ce que vous mettez en avant.

Le ras-le-bol, tout le monde l’a, mais delà à détruire des petites entreprises, mettre en péril des familles entières, je ne suis pas d’accord, je ne serai jamais d’accord. Vous n’êtes qu’une bande d’égoïstes finis, et si on doit sucrer des personnes, il faudrait que ce soient vous, grévistes, qui n’avez ni foi ni loi.

 

 


Que faut-il penser du monde des blogs

Eh bien, plus rien. Cela ne ressemble à plus rien.

Un monde vide, sans vie, et encore plus ici.

Je n’ai pas l’habitude de critiquer, oh non, loin de moi cette pensée, mais obligée de constater.

Quand on construit un monde avec d’autres, on s’y tient, ou alors, c’est que ceux qui ont partagé votre univers, ils ne sont pas vraiment intéressés, et viennent vous voir par condescendance. Je ne suis pas née avec ses valeurs, du tout. Et je regrette d’avoir à faire ce constat.

Désolés, les ptits loups, ceux qui ont fait mon bonheur pendant deux ans, vous n’êtes plus là.

Et surtout, ne venez pas vous excuser, je n’accepterai aucun commentaire dans ce sens.

La vérité, à vous de la trouver au fond de vous, savoir ce qui est le plus important.

Moi, je sais ce qui est vital pour moi, la preuve, ma Val, cet après-midi.Je veux bien croire en tous vos problèmes, vos soucis, vos excuses, mais je n’admets pas qu’on laisse tomber ceux qui ont fait l’intérêt de vos blogs. Et je ne parle pas pour moi, à la limite, je m’en fous maintenant.

Je ne serai pas vulgaire, mais cela me démange vraiment.

Sur ce, portez-vous bien dans un monde que je vous souhaite meilleur, plus fraternel, et plus compréhensif des autres


Beaucoup de tristesse, ce matin

Et bien voilà une belle aventure qui va se terminer.

C’est avec stupeur que je viens de prendre connaissance des changements. Pourquoi tout bousiller ce qui était si convivial.

Même si je n’étais plus au top, que je n’arrivais plus vraiment à quoi que ce soit, nous étions arrivés à construire de belles choses ensemble.

On va tous se disperser, se perdre de vue. Et cela me fait très mal.

Je ne pense pas que je vais rejoindre Worldpress, trop impersonnel.

Je vais peut-être refaire un blog sur Club.Doctissimo ou over.Blog, où la nous avons la possibilité de mettre des images dans les comms.

A voir. Pour le moment, je me prépare pour aller passer l’AM et la soirée avec notre poupée.

Dites-moi surtout ce que vous comptez faire, et ceux qui le veulent, laissez-moi vos coordonnées.

Allez, bisous vraiment tristes


Grrrrrrrrrrr, je grrrrrrrrrrrr aujourd’hui!!!

C’est dingue, j’arrive à arriver nulle part… Je ne peux mettre un comm sur les comms, ni avoir accès aux billets et aux espaces, ça télécharge pas, ils commencent à me pomper…. Et quand cela me pompe, je fais pas des bulles….
Il manque des pages, la moitié des billets sont zappés
Alors, Monique, je te fais un gros bisous, en espérant que tu te remets, soigne-toi.
Karo, Fred, Val, Pat, Isa, Zaza, et tous ceux que je connais, je vous embrasse.
C’est vraiment la forêt profonde, Spaces, je crois vraiment plus trop y trouver bien du plaisir…
Mais je reste, parce que je vous ai tous, en pensant vraiment que c’est n’importe quoi ce qu’ils ont fait.
Allez, des milliers de bisous

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Voici l’Email que j’ai reçu

FMO  Briser l’isolement des 4 millions de
personne
atteintes en France de l’une des
8000 maladies rares et
méconnues.

 
Madame, Monsieur,
 
Après bientôt 15 années d’existence et de combat,
l’aventure de la Fédération des Maladies Orphelines (FMO) s’achève dans la
douleur et la tristesse.

 
Née du
rêve et de l’espoir portés par quelques parents désireux de faire sortir de
l’ombre ces maladies méconnues et délaissées, la FMO a su fédérer les énergies,
réunir les associations de malades, mettre en place des projets novateurs et
imposer les maladies orphelines comme enjeu de santé publique. La fin de la
seule association indépendante et reconnue d’utilité publique en charge de la
lutte contre les maladies rares et orphelines est
inquiétante.

 
Dès la première
heure, alors que j’étais encore présidente de l’Association française Gilles de
la Tourette, j’ai rejoint la FMO, convaincue par l’impérieuse nécessité d’unir
nos forces associatives et de faire entendre nos revendications. J’étais – et je
le suis toujours – fondamentalement solidaire de l’esprit qui a fait le souffle
et la force de la FMO : le travail de proximité, l’attention portée aux
problématiques sociales, la volonté d’apporter des réponses aux plus démunis
d’entres nous (malades isolés ou sans association). C’est tout cela que les
malades et leurs proches perdent avec la disparition de la
FMO.

 
La FMO traverse des
difficultés financières qui ont fini par avoir raison de son combat, de ses
projets et des espoirs qu’elle portait. Elue présidente en avril 2009, j’ai pris
acte d’une situation critique et engagé, avec le nouveau trésorier et le conseil
d’administration, des mesures radicales pour sortir de la crise. Placée sous
procédure de sauvegarde de justice, la FMO a réduit considérablement ses charges
et resserré son champ d’action. Malgré tous nos efforts et l’énergie déployée
par l’équipe des salariés, la réalité s’impose durement à nous tous : la
liquidation judiciaire s’impose.

 
Comment comprendre cet état de fait ? Quelles en
sont les causes ? Plusieurs éléments de réponse
s’entremêlent.

 
En premier lieu
: la FMO souffrait d’une fragilité structurelle de ses ressources. Le
développement de ses missions de service public reposait sur la seule générosité
de ses donateurs (sans aucun soutien du Téléthon notamment) et de ses
partenaires. L’absence de soutien du ministère de la santé prend dans ce
contexte un relief amer, quelques centaines de milliers d’euros de la part des
pouvoirs publics nous auraient suffit pour vivre.

 
En second lieu : la FMO a connu un essor de ses
missions sociales dès 2007, non compensé par les ressources
financières.

 
En troisième lieu
: le contexte économique actuel et la collecte de fonds engagée par une grande
association sur ce même champ ont contribué à diminuer les dons.

 
Par-delà les regrets, la FMO
n’aurait pas pu développer ses missions et se placer sur le terrain de
l’innovation sans le soutien précieux et fidèle de femmes et d’hommes,
d’entreprises ou d’associations qui ont cru dans son combat et qui se sont
battus à ses côtés pour faire advenir les projets qu’elle portait. C’est à eux
que je souhaite m’adresser maintenant.

 
A vous, bénévoles, donateurs, mécènes et
partenaires, grâce auxquels nos plus beaux rêves ont vu le jour ! A vous, qui
avez œuvré pour faire sortir ces maladies de l’ombre, pour défendre des idées
nouvelles et pour relayer nos victoires et nos colères !

 
Je vous remercie tous infiniment et vous invite à
poursuivre votre implication. A l’heure du désengagement financier de l’Etat, le
monde associatif est plus que jamais dépositaire des solutions de demain. Il
regorge de belles énergies et de combats importants.

 
Quant à moi, j’adresse mes pensées à toutes les
personnes atteintes de maladies orphelines isolées. La FMO était la seule à
proposer écoute et accompagnement. Cette perte m’est douloureuse mais je nourris
l’espoir que les personnes atteintes de maladies rares et orphelines et tous
ceux qui sont touchés par cette cause se réapproprient et poursuivent ce combat
sous une nouvelle forme.

 
Marie-Christine Louppe
présidente

C’est malheureux de voir une fédération qui s’occupe de nous tous disparaître
Et je maintiens que le Téléthon n’est qu’une fumisterie financière
Et je ne félcite pas non plus ceux qui sont en charge de notre santé
Je suis furax…
Quand je me serais calmée, je reviendrai, parce que là, je risque d’être plutôt grossière


Coup de tonnerre

La surprise est toujours pas là, mais j’ai de gros soucis avec mon mari, il a passé un scanner des intestins aujourd’hui et je ne suis vraiment pas cool, il ne manquerait plus que cela…. Nodules sur le foie, irritation des instestins, donc des angoisses encore jusqu’au RV avec le gastro, je ne vis plus depuis la semaine dernière, suis comme dans une prison, j’ai pas envie d’entendre ce que je ne veux pas. Oh, là-haut, aidez-moi, je vous en supplie, j’en peux plus.
Pourquoi ne peut-on pas vivre tranquilles, juste avec nos malheurs, pourquoi en rajouter? Pourquoi le monde qu’on vit ne nous accorde pas un peu de paix, qu’est-ce qu’on a fait? A part s’occuper des autres, de résoudre leurs problèmes, désemberlificoter leurs histoires…. Moi, je ne vis plus, depuis huit jours. Je ne peux plus m’endormir, et la journée c’est encore pire, je ne sais plus où j’habite, je tourne, j’évite de me poser, j’évite tout. Je fais des créas à tour de bras pour m’empêcher de penser, de réfléchir. J’ai plus rien, et je ne peux pas en parler à mes proches pour l’instant. C’est dur de vivre dans le silence absolu, tant qu’on a pas d’éléments.
Bisous

Bisous

Mes amis
Je voulais vous envoyer une surprise, mais j’ai passé le pire réveillon et le pire premier de l’an depuis longtemps.
Mon mari a été malade, gastro ou simili, et moi j’ai découvert une chose à l’arrière de mon crâne qui me fait flipper, ce qui va me conduire à téléphoner en urgence à mon médecin lundi.
Et puis, le téléphone n’a pas sonné, sauf une personne qui nous a appelés pour la nouvelle année, et que je ne connais même pas de visu, une amie de Spaces, Bea. Les autres, c’est nous qui les avons passés. Bien triste, très triste.
Quand on sait qu’on a vraiment besoin de ces moments, ces petites joies, de savoir que vous avez encore des personnes proches de vous. Alors, sachez que quand vous êtes malade, vous n’intéressez plus personne, on vous appelle par condescendence, et on vous répond de même.
Je ne parle pas de vous tous, vous m’avez gâtée, Karo, je te remercie de ton envoi. Et de tous les messages que j’ai reçus
Bon, fallait que je pousse un coup de gueule, le premier de l’année, et je le pousse, cà m’aide à évacuer la peur.
On passe, et une bonne nouvelle le petit de mon neveu est né ce matin, à 6 heures, cela a été très long, il devait naitre hier, il s’appelle TIMEO, et j’ai hâte de voir sa frimousse en attendant mon ptit bout en juillet.  Il pèse 3,340 kg et 51 cm, ils vont bien, mais beaucoup de fatigue, j’attends les premieres photos pour vous le montrer.
J’essaie de faire la surprise demain. je m’en étais réjouie, mais là, vais me coucher

A ma plume

Chère plume
Tu m’as comblée de combien de cadeaux… Sur le chemin de ma vie, notre complicité nous a toujours réunies. Chaque fois que mon corps ou mon âme allait mal, depuis quelques années, tu m’as remplie de plaisir, de joie et d’envie.
Pour mon anniversaire, tu t’es  montrée belle plume, et je t’en remercie.
Ce soir, je ne sais plus où je vais, ne sais plus ce que je fais, mais j’écris encore, grâce à toi.
Savoir, toujours et comment, savoir, et continuer d’écrire. Continuer, même quand on ne peut plus.
Continuer, parce qu’il le faut à tout prix.
Ne pas s’endormir
Ne pas lâcher
Ne pas se laisser sombrer
Ne pas du tout
Ne pas de rien
Plus  rien
J’ai pas envie de ce monde, j’ai pas envie de désespérance, de coulage, de sombrage.
Non, j’ai pas envie, mais j’y vais dans ce monde qui ne me plaît pas, qui me hérisse, qui me donne envie de vomir tous les jours.
Ma plume, reste avec moi surtout, ne me laisse pas, ne m’abandonne pas
Sois encore celle sur qui je puisse compter
Pour dire que je suis encore moi


Pas de titre


Aujourd’hui, je n’ai guère envie de rire
J’ai un ami cher qui est mort, fauché par un inconscient en septembre dernier.
Mon mari vient de m’appeler depuis le tribunal.
C’est honteux de ne pas reconnaître la culpabilité d’un meurtrier.
Et de faire souffrir toute une famille, car les assurances se sont pourvus en contre et ne reconnaissent pas le crime.
J’ai envie de vomir, et sa compagne va devoir encore attendre et poursuivre, elle qui ne vit plus depuis sa disparition.
Où est la compassion, où est le juste milieu, où est la vraie justice, le vrai sens de la vie?
Je n’ai plus confiance en cette société pourrie, qui protège quoi, au fait? Ses sous…..
Mais quand pourra-t-on fusiller cette gente, les faire souffrir comme eux font souffrir des êtres qui sont brisés à jamais.
Je n’ai plus confiance dans les jugements, plus confiance…
je suis dégoûtée vraiment, et s’il faut un jour aller à la guerre, j’irai, rien que pour le plaisir d’en descendre certains….


Journée colère

Je croyais pouvoir enfin respirer un peu, mais de charmantes nouvelles administratives hier midi m’ont fait replonger dans ce qu’on appelle l’angoisse, la peur, et le reste. J’ai l’impression d’être un pantin que l’on secoue au gré de ses envies, sans savoir ce que l’on peut vivre au quotidien. Un numéro, et quand tu prends le téléphone pour demander des explications, on te répond, vous n’avez plus qu’à faire un recours. Pourquoi ne pas répondre à ta question simple et précise? Je n’ai pas reçu votre lettre me demandant des documents complémentaires, quand l’avez-vous envoyée???? Eh ben, non, on ne te répond pas, donc, deux mois pour faire un recours " gracieux ", si pas accepté, recours contentieux, et voilà, pendant ce temps, on gagne du temps, c’est monstrueux d’abuser ainsi de la souffrance des gens.
Si j’avais en main aujourd’hui, un fusil, je ne sais pas ce que je ferais, mais certainement pas de mettre à son bout une fleur….

Merci à tous ceux qui ont signé la pétition, et qui l’ont fait suivre. Cà, est ce que j’appelle de la vraie solidarité, y en a certains, il faudrait qu’on leur donne des cours obligatoires….


On se demande parfois pourquoi…

Il y a des jours où l’on se demande pourquoi on en est arrivé là
Pourquoi un jour, tout bascule autour de soi
Pourquoi le temps ne tourne plus à l’endroit
Je ne sais pas mentir, ni me travestir
Je vis sans masque, je vis comme je dois vivre
Mais quand tout se rétrécit, tout se réduit à peau de chagrin
Quand chaque jour, tu dois encore continuer à être
Quand chaque jour, tu sens que tout fout le camp
Tu ne sais plus, tu cafouilles ta vie à chaque instant
Il y a des souffrances pires que le physique
Des solitudes pires que d’être seul
Courir toujours après ton véritable toi-même
Pour ressembler à ce que tu étais avant
S’accrocher à tout et n’importe quoi
Pour avoir encore l’impression d’être soi
Ceux qui restent et qui continuent à t’entourer
Ne peuvent comprendre ce monde dans lequel tu es enfermé
Un monde de l’aléatoire, un monde qui ne tient qu’à un fil
Que tu pourrais casser au moindre petit signe
Un monde entre deux eaux, entre tout et rien
Un drôle de monde, celui qui est le mien
Qui me fait tant souffrir à n’être plus rien


 
MAGIQUE,  NON ?
JE DISPARAIS
A BIENTOT


Journée cata

Evidemment, je suis collée à pas de chance, quoi de plus naturel, en somme????
Je me suis tellement étouffée cette nuit de colère que je m’en suis fait une déchirure.
Avec mon mari, nous avons pu faire une ébauche de réponse à ces messieurs de l’assistance puérile, mais l’imprimante n’imprime plus.
Donc, tout va bien dans le meilleur des mondes.
Alors, qu’est-ce qui me reste? Et bien de penser à vous, en vous disant, surtout, n’essayez pas de me faire rire…. Car peux pas…


Trou noir

TROU NOIR
Dans lequel ce monde me plonge.
Mais je vais faire plonger des mots
Que je veux noyer
D’autres à qui je vais tordre le cou
Et ceux auxquels je vais cracher à la figure
Ceux que je vais envoyer se faire pendre
Et ceux qui font crever les hommes,
Comme je suis en train de crever
Par les mots de ceux qui me les écrivent
Sans savoir ce qu’ils veulent dire
TROU NOIR
Dans ce trou, je n’irai pas toute seule,
Non, sûrement pas
Iront ceux qui les ont mal employés


Journée rouge

Je vois tout rouge aujourd’hui, je savais bien hier soir qui se tramait quelque chose dans l’air…
Ah, ce cher pays voisin dans lequel j’ai passé vingt ans de ma vie, tu as bien utilisé mes compétences quand tu en avais besoin…
Mais quand le hic surgit, tu n’as plus foi ni loi. FI de ces frontaliers dont ils ne veulent plus…
Ca te dérangerait de prendre en compte ma situation? Et de répondre, toi l’administration à mes doléances? Tu avais jusqu’au 17 décembre depuis le 24 octobre pour tes conclusions à mon dossier.  Toi tu ne sais pas ce que c’est que l’attente d’une décision de personnes qui ne te connaissent même pas, qui ne t’ont jamais vue et ne te verront jamais. En attendant, on ne peut pas vivre que de l’air du temps, et je vais m’ajouter encore des souffrances,parce que je n’ai plus les moyens de vivre correctement, plus les moyens de me soigner autrement.
Et c’est toujours toi qui doit demander, même à ton avocat qui est censé s’occuper de toi, faut lui demander ce qui se passe car il a trop de dossiers, et donc débordé.
J’ai pas demandé à être malade, j’ai pas demandé à être intoxiquée à ces métaux, j’ai pas demandé à perdre mes jambes, mes bras mes muscles mon cerveau et vivre dans un squelette d’os de 44 kilos.
Je n’ai droit à rien aux yeux de cette société des hommes qui jugent, sans savoir, sans voir, et sans comprendre.
Je ne vais pas en rajouter, mais je savais bien ce matin, qu’il y a des gens qui s’en foutent de la souffrance des autres.


Quoi de 9, Docteur

Eh, bien rien, rangées les décorations dans les cartons, tombée l’effervescence de ces fêtes. On retourne au petit train train de la vie, celle qui occupe toute l’année, qui fait les taka, les ondit, les t’aurais pas dû, les t’as pas vu, t’as pas cru….. Ahhhh, les t’as pas, bien ceux-là, ils s’invitent à toutes les sauces avec les pas crus, heureusement, qu’ils ne sont pas à cuire, ceux-ci… Parce que je les acommoderais bien à la sauce faut qu’on, faut quoi, en fait, avec des si tu?????
C’est drôle, la vie, on pourrait refaire le monde avec des si.
Si seulement…. Il y avait des si qui voulaient dire encore quelque chose, des si qui gomment les jamais, et les remplacent par si toujours…
Je crois encore aux si, les si j’étais, si j’avais été……. Mais je me contenterai des si tout courts…
Alors, je ne vais pas me plaindre, parce qu’avec mes si, je rêve encore, et si le plaisir était là?????


Un peu de nouvelles

Nous sommes toujours en alerte orange, et depuis deux jours, c’est l’enfer chez nous.

Et dangereux, le choc de deux jours en arrière, c’est que mon fils s’est mis en l’air avec notre voiture à quelques encablures de la maison, dans la descente de votre village, une pente à 14 pour cent, il a fait un tonneau, heureusement il n’a rien, mais ces problèmes matériels vont nous poser beaucoup de désagréments, la voiture est foutue. Car en procès pour mon invalidité en Suisse, je n’ai plus de revenus depuis un an. Et je ne peux plus rien assumer.
Cette peur que j’avais réussi un peu à maîtriser est revenue au galop, et a redéclenché beaucoup de symptômes, ne m’en voulez pas si je suis un peu absente, mais comme nous sommes hypersensibles, nous les fibro, le moindre choc émotionnel nous fait retomber dans les travers de notre maladie. C’est un cercle vicieux auquel  nous ne pouvons nous échapper
Je suis paniquée, et il me faut du temps pour retrouver un semblant d’équilibre.
Dans ces cas-là, tout se bloque, le cerveau, les membres, les muscles, et j’en passe.
Je m’en veux tellement de ne plus être ce que j’étais, et de ne pas assumer comme avant.
C’est une horreur pour moi, et encore plus de l’avouer.
J’aimerai tant continuer à faire plaisir à tous, de manière régulière.
Mais je ne le peux.
Je m’en excuse auprès de vous tous.
Bien amicalement
Framboise, votre obligée
 
 
 


Grrrrrrrrr…….

Quel charivari, ce matin, avec tous les problèmes depuis lundi, il fallait en plus ces changements, je ne m’y retrouve plus, j’ai plein de contacts qui se sont ajoutés.
Sur mon autre blog, des demandes étrangères en masse, les évènements qui ont disparus, ceux que je veux rajouter, impossible.
Donc, humeur très lune aujourd’hui pas près de passer.
Je crois que je vais tout laisser tomber. On ne peux plus mettre des photos de son album dans un billet.
Mon nom s’affiche, et j’ai pas envie. Les évènement ne s’affichent plus dans le profil, c’est le B………………., la liste d’amis change tout le temps,et j’en passe.
Je vais pas me ronger les neurones, pour ce genre de bêtises, c’était tellement plus simple avant….
J’ai passé une heure à effacer tous ces contacts qui viennent de je ne sais pas d’où, que je ne connais pas.
Je peux plus me connecter à mon profil, ni sur mon autre blog. Donc, basta.
Je vais continuer à écrire dans mon coin, point final.
Excusez, mais c’est le prolongement de la colère de trois jours.

 


Encore et toujours

Comment peut-on vivre
en harmonie dans un corps qui ne répond plus?

Un corps qui se dégrade et qui
ne reflète plus rien dans le miroir.
C’est un combat de tous les jours, un combat sans fin, un combat épuisant, un
combat dégradant, un combat avilissant
Quand le matin, tu te réveilles, et que tu sais, que tu ne pourras rien faire,
rien envisager, rien prévoir
Seulement attendre que le temps passe, que le temps efface un peu les traces
laissées dans ton cerveau, des stigmates indélébiles.
C’est un lourd tribut à payer tous les jours de sa vie.
Faut ouvrir tous les tiroirs au fond de soi, trouver des solutions pour palier
aux manques, pour retrouver un semblant de stabilité, un semblant de réalité.
Faut trouver un semblant d’équilibre, un semblant de soi.
Réactiver la machine, lui donner de nouvelles impulsions, encore et toujours.
Stimuler, régénérer, encore et toujours.
Voilà, ce sont les mots, encore et toujours.
Chaque jour qui passe, un peu de moi s’envole, et  je sais que je ne
pourrai retrouver ses traces.
Je le sais, en toute conscience, parce que mon corps me l’a dit.
Et mon cerveau aussi.



Je ne regrette pas d’être une tête de mule

Messieurs les technocrates de la santé,
C’est  à vous que j’écris cette lettre aujourd’hui.
Vous qui soi-disant voulez soigner, voulez guérir, voulez nous apporter votre soutien, vous qui voulez que nous allions mieux, je suis au regret de vous dire que vous n’êtes plus vraiment à l’image de votre vocation.
Vous que l’on désigne comme experts pour statuer sur le devenir d’une personne, vous ne faites qu’écouter, mais vous n’entendez guère ce que l’on vous clame haut et fort.
Je vous ai hurlé mon désespoir en vous affirmant que mon état se dégradait, qu’il y a avait des choses que je sentais et qui se passaient dans mon corps que je ne comprenais pas.
Vous m’avez fait des ronds de jambes en compatissant, en me tendant la main par devant, et par derrière, vous m’avez sciée dans vos rapports de multiples pages, ne retenant que votre vérité sans chercher le pourquoi du comment et votre verdict a été établi sans fondement. Conclusion : vous somatisez vos douleurs, et vous avez préféré voir si j’étais une alcolique chronique ou anorexique mentale, suspectant que je me bourrais de laxatifs et de diurétiques.
Eh bien, le verdict, le mien est tombé hier, si je n’avais pas continué à chercher, toute seule comme une grande, à mes frais, alors que je suis sans revenus depuis un an.
Intoxiquée aux métaux lourds, arsenic plomb mercure étain et cuivre.
Messieurs les technocrates, j’espère pour vous que cette intoxication sur des années n’aura pas de plus graves conséquences, je vous le souhaite sincèrement.
Et rassurez-vous, je ne vais pas m’empêcher de vous le faire savoir, par tous les moyens que je trouverais et pourrais utiliser.
Quand vous comprendrez que l’on ne joue pas avec la santé d’autrui, là, vous exercerez à nouveau correctement votre vocation.

 


Journée tempête

Oh, vilaine fibromyalgie, comme je te déteste aujourd’hui.
Tu me prends tout, mon corps, mon énergie
Je n’ai plus la force, je n’ai plus l’envie
Laisse-moi respirer les odeurs de mon Infini
Laisse-moi glisser sur les flots de mon esprit
Laisse-moi me parer des couleurs de la vie
Laisse-moi vraiment, je t’en prie